To be effective, drinking water programmes relying on groundwater need good quality and well managed groundwater data. Unfortunately this is an overlooked, “techy domain”. The presentations and discussants on this webinar explain the typical problems of groundwater data collection, management and use. They draw on first hand examples of: groundwater data use in Uganda and the United Kingdom; groundwater databases in 15 African countries (Benin, Burundi, Central African Republic, Chad, Guinea, Ivory Coast, Liberia, Madagascar, Mali, Mauritania, Niger, Senegal, Sierra Leone, Togo and Zambia) and work on transboundary aquifers in South Africa, Namibia and Botswana) followed by of the current realities in Mozambique. There is need for training, quality assurance of data, and for groundwater data collection to become part of drilling contract management.
Presentations and reflections from Lawrence Brown from Hafren Water (UK), Helen Bonsor of the British Geological Survey – BGS (UK), Fabio Fussi of the University of Milano Bicocca, Italy and Andreas Antoniou of the International Groundwater Centre – IGRAC (the Netherlands). Reflections from Brighid O Dochartaigh, British Geological Survey – BGS (UK) and Samo Chirindja Farisse – Eduardo Mondlane University (Mozambique).
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Pour être efficients, les programmes d’approvisionnement en eau potable ayant recours aux eaux souterraines ont besoin de données sur les eaux souterraines de bonne qualité et bien gérées. Malheureusement il s’agit d’un domaine jugé trop technique et souvent négligé. Lors de ce webinar les présentateurs et commentateurs mettent en exergue les problèmes typiques concernant la collecte, la gestion et l’utilisation des données sur les eaux souterraines. Ils se basent sur des exemples personnels : utilisation des données des eaux souterraines en Ouganda et au Royaume Uni ; bases de données sur l’eau souterraine dans 15 pays africains (Bénin, Burundi, République Centrafricaine, Tchad, Guinée, Côte d’Ivoire, Libéria, Madagascar, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Sierra Leone, Togo et Zambie). Il y a des besoins en formation, en assurance qualité des données et en ce qui concerne la collecte des données sur les eaux souterraines la nécessité de devenir partie du contrat de forage.
Présentations et réflexions de Lawrence Brown de “Hafren Water” (UK), Helen Bonsor du “British Geological Survey” – BGS (UK), Fabio Fussi de l’Université de Milano Bicocca, Italie et Andreas Antoniou du Centre International sur les Eaux Souterraines – IGRAC (Pays-Bas). Commentaires de Brighid O Dochartaigh, “British Geological Survey” – BGS (UK).